Barbara fixait Ian avec ses yeux envoutant comme si ils étaient des revolvers. Ce fut d'ailleurs un point commun qu'elle remarqua avec lui en plus de la beauté ténébreuse. Les chromosomes avait fait du bon boulot cette nuit ou Elsa s'était tapé un autre homme que son mari. Barbara baissa la tête et s'approcha de Ian quand il lui demanda son nom. Le contact avec son père la faisait frissoné et il fallait admettre qu'il était cruellement sexy, si ça n'avait pas était son père elle aurait tout fait pour coucher avec même si pour ce genre de chose elle n'avait pas vraiment de mal, mais vu les circonstances ça lui donnait plus envie de vomir que de jouir. A sa question, elle se colla joue à joue contre Ian et consciente que son charme avait effet sur ce quadragénaire qui n'était nul autre que son père, elle répondit avec la plus grande sensualité et chuchottement dans son oreille.

- Je m'appelle Barbara ... Barbara Fergusson . Elle s'éloigna de quelque centimètre en fusillant Ian du regard. Et je suis ta fille ! dit-elle avec toute la froideur qu'elle pouvait concentré en elle avant de lui retirer sa main qui la caressait tout le long de son buste.

Ses yeux se remplirent légèrement de larme, elle parlait avec son géniteur. Un futur transsexuel qui avait des milliards sur son compte et qui n'était pas capable de mener une vie sérieuse, mais qui sautait toutes les putes du Canada et avait goutté à toutes les drogues du monde.

Ian se fit la remarque que l'adolescente avait les mêmes yeux que lui. C'était obligé une pure coïncidence et les effets des narcotiques qu'il s'était enfilé. Il battit des cils enivré par son parfum quand elle se rapprocha de lui. La gogo danseuse s'écarta pour laisser le passage et Ian pouvait voir son regard furieux par dessus son épaule. Sa fille ? Ian leva les yeux et se mit à rigoler. Il pigeait pas. Sa fille ? Il se remit à rire et s'arrêta après avoir bien fini, les deux mains posées sur les genoux de la prostituée qui avait repris sa place. Ian avait plus envie de jouer avec l'ado, elle était un peu trop bizarre pour lui même si elle était bien plus belle que sa pute de luxe.

- Et tu veux que je sois ton vilain beau-père qui vient te rendre visite dans ta chambre le soir ? Les jeunes sont de plus en plus pervers.

La réflexion fit rire la prostituée qui avait arrêté sa danse pour se concentrer sur l'étrange face à face.

- Par contre Fergusson ça me dit quelque chose...

Barbara était exaspérée par la réflexion de Ian. Non mais quel con, il l’a prenait pour une débile nymphomane en manque de relation incestueuse. Non, ce n’était pas le ca, elle n’était rien d’autre que sa fille ! Elle hoche la tête de gauche à droite pour lui montré à quel point il lui faisait pitié avec sa prostituée sur les genoux. Elle commença à partir, elle était prête à baisser les bras, de toute façon qui voudrait d’un con pareil comme père. Ce n’était même plus pour ce servir de lui qu’elle voulait lui dire qui elle était, mais pour vraiment avoir la chance d’avoir un père et peut être passé plus de moment qu’elle en a passé avec le « précédent » -qu’elle portait malgré tout dans son cœur-. Déçue, elle s’en allait en direction de Katri avec les larmes aux yeux à l’idée de ne pas avoir la force d’insister sur un sujet aussi important. Quand elle entendit Ian se souvenir de Fergusson, elle fit demi tour avec encore un peu d’espoir. Mais peut être qu’il connaissait juste Fergusson dans le milieu du show-buis mais ne se rappelait pas avoir sauté sa femme malgré que cette dernière était la belle sœur de Chanel.

- Elsa ? Elsa Fergusson ? dit Barbie. Je suis sa fille et je suis aussi la nièce de Chanel… et c’est elle-même qui m’a dit que tu étais mon père ... et m’a poussé à aller vers toi… mais je le regrette à présent. Bonne continuation !

Barbara le regarda de haut pour lui montrer à quel point elle avait pitié, les gens comme ça était facilement susceptible et leur faire comprendre que c’était des ratés –mental- les faisaient souvent réfléchir… enfin d’après les films et série bidon qu’elle regardait en compagnie de Charlie quand elles ne faisaient pas des orgy. Barbie partit pour de bon cette fois-çi ne voulant pas se faire ridiculiser de nouveau par un abruti et tout ça devant une putain qui passait ses soirée à pomper les pénis et les dollars des riche clients du Diamants. Bien sûr elle espérait que son…père... la rattrape, qu’il cherche à savoir, qu’il s’intéresse à elle, pas comme les autres membres de sa famille qui soit l’ignoraient soit l’enfonçaient.

C'est déplacé si je me permet de répondre alors que j'ai genre 5 mois de retard ?