Un nouveau coloc [Warhol - et Cruz si le coeur lui en dit ^^ -]

[Je tiens à préciser que ce n'est pas moi qui vais jouer Warhol, je le prête à Steph le temps du topic Sad

]

Beth avait finalement accepté l'accord de Cruz, à savoir qu'il revenait vivre à la maison moyennant l'installation de son grand débile de pote, Warhol Empire Surton, qui n'avait même plus de quoi se payer une chambre dans le propre hôtel de ses parents. Elle avait fait seulement à contre coeur, mais parce qu'elle ne voulait pas perdre Cruz, et que le savoir sous son toit était réconfortant pour elle. Elle espérait ainsi qu'il irait moint voir ailleurs, et que peut être, un soir, il finirait par retourner vers Beth, dans la chambre qui n'attendait plus que lui, et qu'il passerait une véritable nuit d'amour comme il y a 9 mois. Elle pensait que c'était la seule solution pour que celui qui l'avait laissé effondrée sur le sol de la cuisine réalise qu'il ne pouvait plus la laisser seule.
Toutefois, si Warhol avait fait son entrée remarquée dans la demeure des Preston, Beth essayait de ne pas le remarquer. Elle faisait abstraction au fait que le jeune adolescent se balladait la plupart du temps à poil et qu'il était déjà rentré plusieurs fois dans la salle de bain privée de Beth quand cette dernière était sous la douche ou en sortait tout juste. Elle espérait secrétement que ce petit numéro de Warhol l'aiderait à récupérer Cruz, à le rendre jaloux, et à montrer clairement que Beth lui appartenait, et à personne d'autre. Elle était donc prête à accepter le côté pervers et obsédé de Warhol uniquement pour l'amour de Cruz. Et oui, Beth était une pauvre victime dans toute cette histoire (A).
Ce matin là, alors que Beth était en train d'enfiler une tunique-pull assez fine, encore en petite culotte, Warhol fit irruption dans la chambre de cette dernière, qui ne se démonta pas et joua de la situation en s'approchant de lui. Une fois à quelques petits centimètres pour ne pas dire millimètres, de sa bouche, elle le charma du regard, un peu comme ce dernier aimait faire à toutes les filles qu'il croisait, et lui dit, innocemment :

- Warhol, tu tombes bien, j'ai justement coincé une mèche de cheveux dans le bouton de ma tunique. Ca t'ennuierait de m'aider ...

Connaissant Warhol, elle savait que ceci marcherait immédiatement et que le jeune homme était sûrement déjà en érection et prêt à dégainé. Beth s'était assurée au préalable que d'une, la porte de sa chambre était bien ouverte, et de deux qu'elle parlait assez fort pour que Cruz, s'il passait par là, voit et entende toute la scène.

[Steph, je te confie la bête ... n'oublie pas, le seul mot que Warhol sait prononcer n'a que 4 lettres et commence par un S comme Stéphanie Very Happy

]

[Sujet fermé pour cause de non respect des règles. Beth est à Cruz.] Twisted Evil

[C'est de l'abus de pouvoir ! Beth est à celui qui la fera le mieux jouïr ]

[Alors je crois qu'on connaît déjà le vainqueur. Cruz par KO]

[Beth prend toujours beaucoup de plaisir quand on se bat pour elle I love you

]

Vêtu de son Boxer le plus moule-boules, noir satiné (le préféré de Ridley "Mon préféré c'est le Rondelet "), Warhol déambulait au sein du Manoir Prestonnien tout en chantant à tue tête, le héros de sa vie, les douces paroles du grand Frankie Vincent : "Tu veux mon Zizi !!". Cette chanson avait été, à son humble avis, écris pour lui, composée pour son génie. Et parfois, d'un air pensif, il compatissait le pauvre Frankie, sachant par pur expérience à quel point il était dur de combler toutes les femmes qui croisaient son chemin. Si son sexe n'avait pas été si uniquement gros et génial, peut-être qu'il s'en serait fait greffer un deuxième, histoire de combler davantage de chattes mouillées à la fois, mais il avait décidé, après grande réflexion de rester fidèle à la nature, sachant d'avance que le deuxième serait forcément boudée et qu'elles ferraient, à sa grande joie, toutes la queue pour...sa queue. (ahah !)
Justement, la nature l'appelait encore ce matin. Depuis qu'il vivait sous le toit des Preston, grâce à son ami Cruz, qui lui permettait d'avoir encore minimum la classe devant les gazelles depuis qu'il était fauché, même si l'homme savait qu'il pouvait toujours se faire, dans le pire des cas, des couilles en or en se lançant dans le porno, il n'avait qu'une foutue obsession : comblée LA CHATTE ! Cette légendaire Beth Preston, fantasme à part entière. Il avait si souvient pensé à elle, étant plus gosse, lorsqu'il se branlait dans les chiottes du Manoir, devant le portrait de famille, que le fait qu'elle ne redise rien à son installation ici, malgré sa rigueur et sa rigidité était comme la réponse divine à toutes ses prières : elle s'offrait enfin à lui, seins pointés, la quarantaine approchant à grand pas, mais encore fraiche comme la rosée du matin. Son expérience avec Ridley l'avait de toute manière convaincu quant aux bienfaits des femmes matures : elles étaient au fond, bien plus cochonnes que les autres.
Alors, virilité toute pointée par les films qu'il s'était fait rien qu'en montant les escaliers le menant aux appartement de la jolie maman, même escaliers où il comptait bien la coucher, il débarqua, de la bave aux coins des lèvres. Elle était là, en petite-culotte...Le genre de petite culotte qui semblait lui crier « Viens m'arracher avec les dents »...parce que oui, Warhol était l'homme qui murmurait aux petites culottes !
Elle avait malencontreusement coincer une mèche de cheveux dans l'un des boutons de sa tunique ? Aucun problème, Warhol comprenait parfaitement bien tous les sous entendus de la maman de son meilleur pote, elle n'y allait pas par quatre chemin, elle voulait déjà qu'il mette en lambeau le tissus.
Elle se mit dos à lui. Le jeune Surton n'avait pas besoin de prononcer le moindre mot, lui qui savait tellement mieux argumenter de son sexe [deux fois ^^]. Posant ses mains sur les épaules de Beth, il glissa un doigt dans la feinte (de ses fesses) du fameux bouton et libéra son cheveux tout en murmurant à son oreille :

« Je suis votre esclave, les désirs de Madame sont des ordres... »

Beth avait senti le mâle en chaleur à 50 mètres de sa chambre. C'était simple, Warhol était un sexe sur pattes, un sexe ambulant. Et tout son corps transpirait le sexe, le sperme et la testostérone. Si cela attirait et excitait n'importe quelle femelle, Beth elle restait insensible à cela, bien trop impreignée par l'odeur de Cruz, mais elle aimait jouer de cette situation. Elle aimait laisser croire à Warhol qu'il pouvait la draguer, flirter avec elle. Elle était d'ailleurs loin d'être naïve et s'imaginait parfaitement bien les pensées perverses qu'il devait avoir à son égard, et non pas que cela ne la dérangeait pas, mais elle préférait ne pas y penser.
Elle vit donc venir Warhol avec ses gros sabots et son gros sexe, la bave au coin des lèvres, et l'image du corps presque nu de Beth dans ses pupilles. Ca en était presque flatteur, si on mettait de côté les pensées obscènes que devait avoir Warhol. Mais se dire qu'à presque 37 ans plaire à un adolescent de l'âge et du physique de Warhol Empire, c'était un compliment. Bien entendu, elle savait qu'elle produisait ce même effet sur Cruz, mais ce n'était pas pareil. Eux, c'était de l'amour. Là, Warhol avait juste un fantasme à assouvir, se taper la fameuse Beth Preston, celle qui avait été élue femme la plus sexy de la planète. Et Beth comptait lui offrir ce qu'il voulait, du moins lui faire croire. Elle espérait même secrètement que Warhol aille se vanter auprès de Cruz de plaire à sa mère.
Elle sourit quand Warhol s'approcha d'elle pour lui déméler les cheveux. Il était agréable d'avoir un beau mec serviable à son service. Elle ne pouvait s'en plaindre et comptait bien en profiter. Se retournant vers lui, se trouvant alors à quelques centimètres de sa bouche, elle lui sourit en signe de reconnaissance, et pour l'allumer un petit peu, il faut l'avouer. Puis, prenant un air faussement gêné, elle lui dit :

- C'est un plaisir de t'avoir ici Warhol, tu apportes une bouffée d'oxygène à cette maison. Serait-ce trop te demander de m'aider à mettre mes boucles d'oreille ? Elles sont un peu difficiles à mettre et d'habitude Cruz m'aide à les mettre ...

Elle accompagna sa demande d'une légère caresse sur la joue, comme elle l'aurait fait à ses enfants pour les féliciter pour leur bonne conduite, mais elle savait que ce geste anodin exciterait encore plus, si cela était possible, le jeune mâle dont les hormones étaient en effervescence !

La cohabitation avec Warhol se passait aussi bien que dans ses rêves les plus fous. Sa présence lui permettait de se remettre dans la peau d'un adolescent gâté et sans responsabilités. Tout ce qu'il voulait. Il pouvait à loisirs rêvés de culs et de fêtes, matter Beth le matin dans sa nuisette de satin comme du temps où ils n'avaient pas sauter le pas. Ok cette dernière partie était plutôt frustrante mais il préférait cela à une paternité assumée et reconnue de Prudence. Et puis sa réputation serait sans doute à jamais ternie si quelqu'un apprenait les rapports qu'il entretenait avec Beth même si elle était canon. Et de toute façon il était trop bien placé pour savoir que les belles histoires d'amour ne marchaient jamais. Alors autant tuer celle-ci dans l'oeuf. Ca lui épargnerait bien des douleurs. Il sifflotait presque serein dans son immense manoir même si la vision de Warhol en moule burnes lui donnait quelques suées. Au retour d'un jogging - oui Cruz aimait courir - il se rendit dans sa chambre pour se doucher et se changer quand il entendit des éclats de voix et de froissements de vêtements provenir de la chambre de Beth. La voix de sa mère et celle de Warhol s'accordaient si mal que ses oreilles sifflèrent. Sans attendre il se précipita dans la pièce pour assister à la pire des scènes. Beth en mode cougar prête à tout et Warhol dans son rôle habituel d'assoiffé de sexe. Cruz posa aussi une main possessive sur l'épaule de Beth avant de faire barrage de son corps en s'imposant entre elle et Warhol.

- Dîtes moi que c'est une putain de blague !

Cruz avait pensé foncer sur Warhol tête baissé et lui éclater sa tronche de sale petit enfoiré amateur de MILF (Mom i like to fuck). Mais il fallait être honnête si sexuellement Cruz battait très largement son meilleur ami, au niveau du physique c'était le combat du roseau contre le chêne, du coq contre le poussin. Bon il n'était pas fluet mais il était du genre plutôt délicat alors que Warhol était un bodybuildeur. Un enfoiré de musclor qui posait ses affreuses mains géantes sur SA Beth. Donc plutôt que t'utiliser sa force Cruz préférait utiliser les mots. Un terrain sur lequel il battait aisément ce branleur de première incapable de former une seule phrase sans bite et couille à l'intérieur.

- Qu'est ce qui se passe ?

Warhol n'avait qu'une envie, mordiller ses tétons tout durs et il en salivait le salaud. Langue pendue, il buvait totalement ses paroles, il n'attendait qu'un mot, juste le signal de départ pour la levée, la prendre dans ses bras et la satisfaire de la manière la plus torride qui soit. Boucles d'oreilles ? Alors comme ça, elle avait envie qu'il enfourche d'abord sa langue le long de ses oreilles ? Le jeune homme était, il faut l'avouer quelque peu déçu, lui qui rêvait déjà d'enfourcher sa langue un peu plus bas, mais bref, Beth était peut-être attachée à tout ces préliminaires à la con, et il préférait bien lui lécher les orteils que risquer de la brusquer en allant trop vite...Et puis fallait avouer que le fait même de retarder les choses, rendait la chose davantage excitante. Posant un instant sa main sur son imposant paquet, histoire qu'elle n'oublie pas de remarquer quelle merveilleuse monture il était et puis aussi sans doute pour la voir, comme les autres s'émerveiller devant son si gros sexe [et de trois xD] Il allait se pencher à son cou pour s'emparer de son oreille gauche avec ses lèvres charnues et s'emparer de sa taille, à l'aide de ses grandes et expertes mains...quand, gringalet Preston, son meilleur pote quoi, débarqua, les joues rouges. Hey ? Mais c'est qu'il arrivait à temps, après tout, plus il y avait de fous, mieux c'était non ? M'enfin pour le coup Warhol fut un peu déçu, lui qui voulait tout de même caresser le corps de la belle maman avec son sexe [4 ->] seul en gros égoïste. Il n'avait pas le moins du monde envie de partager...Mais, une minute ? Beth était quand même la mère de Cruz, et pour le coup, un plan à trois lui semblait quelque peu sale (oui Warhol pouvait être pourvu d'un minimum de moralité parfois), alors, lorsque Cruz se fraya un passage entre lui et Beth il recula, débandant quasi immédiatement :

"Je marche pas pour un plan à trois moi...C'est ta mère mec, c'est crade...à la rigueur, tu peux regarder si tu veux..."

Warhol avait le don de balancer ce genre de choses avec un naturel tout à fait déconcertant. N'importe quel mec à sa place n'aurait pas joué les marioles à se faire prendre par son pote, en train d'emballer la propre mère du dit pote mais Warhol Empire, lui pensait surtout avec son sexe [5 :p], un peu comme Cruz quand il jouait pas les taffiolles sentimentales, alors bon, il pensait que Preston pouvait comprendre le fait que sa mène était quand même une putain de bonasse, et que Warhol restait un homme, prêt à satisfaire toutes les femmes sans exceptions, même les mamans !

Cruz ressera son étreinte autour de Beth qu'il gardait toujours derrière lui. Son corps était un paravent contre la perversité et l'obsession pour le sexe de Warhol. Deux éléments qu'ils avaient souvent eu en commun mais désormais ils excédaient Cruz depuis que l'attention de la bite de Warhol s'était porté sur Beth. Sa Beth. La mère de sa fille. Quand ça l'arrangeait. Il la tira par la main et commença à quitter la pièce en la serrant contre lui.

- Beth n'est pas comme ta chaudasse de mère. Ou comme Charlie.

Depuis que son ancienne meilleure amie l'avait trahi pour s'accoquiner avec son bon à rien de frérot, Cruz faisait tout pour détruire la princesse de Degrassi. Pour l'instant entre eux la guerre n'était pas franchement déclarée. Ils n'avaient pas encore eu une explication mais cette dernière se promettait orageuse et sûrement tendue... sexuellement. Avec leurs corps de rêves et leurs idées retorses, Cruz savait que leur batailel verbale serait entre références cul-turelles et insultes au dessous de la ceinture. Mais pour le moment il attendait un peu avant d'affronter le monstre de Degrassi. Charlie pouvait toujours planter un couteau dans le dos de son frère et redevenir à nouveau son alliée. Mais pour le moment elle était le seul point faible de Warhol ce connard de traître pervers mais pas tant que ça puisqu'il ne voulait pas que Cruz couche avec sa mère. Cruz allait refermer la porte pour laisser Warhol ~~réfléchir à ce qu'il avait fait et aux conséquences de ses actes~~ et s'expliquer avec Beth et ses nouvelles tendances exhibitionnistes quand la rage qui l'habitait l'obligea à lâcher une nouvelle salve de remarques blessantes.

- Enfin j'oubliais elle suce la queue de tout le monde sauf la tienne. Un conseil mec si tu veux pas que je te redépose sur le trottoir où je t'ai trouvé ne t'approche plus d'elle.

Sauf si bien entendu elle était coincée sur un passage à niveau, ou en train d'accoucher dans la rue. Oui bon là exceptionnellement Cruz pourrait peut-être accordée une dérogation exceptionnelle à Warhol et il pourrait approcher Beth.

Beth était très amusée par la situation. Elle sentait l'odeur du sexe ennivrer la chambre. Warhol était une vraie machine sexuelle, il semblait fonctionner aux hormones. Il était pire qu'un teckel en chaleur qui niquait tous les pieds de table qu'il croisait. Elle n'avait pas besoin d'être collée à lui pour voir son sexe se durcir et se tendre droit comme un I, tendant toutefois légérement vers la droite. Et elle aimait ça. Elle aimait l'idée qu'elle allait sûrement le laisser se faire les plus jolis rêves (sûrement pornographiques), et les lui briser en moins d'un quart de seconde, comme elle le faisait toujours aux hommes qu'elle laissait s'approcher d'elle. Elle souriait à cette perspective et laissa Warhol s'approcher pour lui mettre ses boucles d'oreille.
Mais qu'elle ne fut pas sa surprise quand elle vit Cruz débarquer. A vrai dire, c'était l'effet souhaité. Elle avait provoqué en quelque sorte ce tête à tête brûlant, pour que Cruz réalise qu'il allait perdre Beth à tout jamais s'il n'assumait pas, tout simplement. Elle voulait le rendre jaloux à en crever, comme elle, elle se rendait malade, le soir, dans son grand lit vide et froid, à imaginer son amant de fils dans les bras de n'importe quelle pouffiasse de Degrassi. Elle voulait qu'il voit ce que ça faisait, d'être le cocu de l'histoire, d'être celui qui se morfond et attend le retour de l'autre, sans qu'il n'y ait aucun espoir.
Surprise, elle se laissa totalement faire, se laissant embarquer au passage par Cruz. Si son but n'avait pas été de le faire souffrir pour le faire réagir, elle aurait succombé. Elle aurait trouvé ce geste et cette colère si attendrissante, qu'elle l'aurait embrassé et lui aurait encore tout pardonné. Mais ce n'était pas son but. Elle voulait lui faire comprendre qu'elle était libre, et qu'elle n'était pas sa chose. Pas tant qu'ils ne seront pas officiellement un couple. Légitime. Elle les écouta parler. Ils étaient répugnants. Dégueulasse. Warhol était encore pire que ce qu'elle avait imaginé, même si dans cette pièce, il semblait être le seul à savoir que l'inceste était quelque chose de mal. Finalement, il n'était pas si con, et c'est cela qui répugnait Beth. Et Cruz. Cruz qui cherchait à la défendre en rabaissant la mère de son baiseur de copain qu'il avait ramener sous son propre toit pour ne plus avoir à dormir dans le lit de sa mère, elle trouvait ça touchant, mais énervant aussi. pour qui se prenait-il à décider avec qui elle pouvait ou ne pouvait pas coucher ?
Hésitant entre baffer Warhol pour le faire passer pour un pervers - ce qu'il était déjà - dégueulasse aux yeux de Cruz et passer pour la pauvre victime, ou giffler Cruz pour lui montrer qu'elle n'avait pas besoin d'un garde corps mais d'un homme, Beth décida de juste se décoller un peu du corps de Cruz. Etre trop près de lui ne lui donnerait pas la force d'affronter la suite . Elle décida de mettre un terme à leur querelle d'adolescents boutonneux :

- LA FERME les enfants !

Bien entendu, Beth avait volontairement utilisé ce mot. Elle poursuivit, comme si tout était clair dans son esprit, et pourtant, son coeur lui hurlait de dire tout le contraire :

- Cruz, c'est très gentil de te préoccuper comme ça de ta mère, mais ton ami a juste été serviable en m'aidant à m'habiller. Je n'ai pas besoin d'un garde du corps, je suis assez grande pour me défendre. C'est d'un homme dont j'ai besoin et Warhol a été assez aimable pour venir à mon aide.

Puis, cédant totalement à ce que son corps et son coeur lui dictait, elle se laissa à nouveau aller dans les bras de Cruz, se sentant tout à coup faible et ayant besoin de sentir l'odeur de son amant pour respirer à nouveau.

» Cruz, fais moi l'amour ! [PV ... Cruz :P]
» Fiesta à la coloc ! [ouvert à tous ]
» A la rencontre de Warhol... [PV]
» {Chloé} Nouveau deal
» Envoyez-moi au bagne... [WARHOL]

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