[Allez vous faire foutre ! ]

[Pauvre Barbie quelle honte de lui proposer Ugo, elle a pas mérité ça]

[tout à fait, la pauvre a pas mérité ça ]

Barbie avait envie de pousser Charlie du lit quand elle posa ses grosses fesses dessus. De toute façon Barbie savait que Charlie était toujours ou presque de mauvaises intentions. Mais étrangement elle s'en foutait enfaite, elle avait envie de lui dire " Oui aide moi" avec la voix de la fille la plus conne du monde. De toute façon, qu'elle mette ses sales pattes dans l'organisation ou pas. Elle trouverait le moyen de faire un merdier pas possible. Et Barbie avait envie d'une fête. Barbie aimait Charlie officiellement, c'était les meilleurs cousines du monde.

- Pétasse. On a la même voiture, tu vas m'aider à organiser une fête qui sera à notre nom. Parfaite comme nous. C'est génial ? On va bientôt être des jumelles.

Elle avait balancé sa sur une voix niaise au possible. Si Barbara avait crut ses paroles, elle aurait imaginer Charlie comme la soeur qu'elle n'avait jamais eut. Mais ça c'était la couche superficiel de leurs relations, elle savait très bien que Charlie était le diable à personne, qu'elle tuerait père et mère pour arriver à ses fins. Peut être pas Jimmy. Sortir avec Ugo, c'était une blague. Le plus vilain de la famille Preston, le vilain petit canard. C'était HORS DE QUESTION. Mais elle en toucherait deux mots à Cruz au cas ou, si ça pouvait lui être utile. Oui, maintenant qu'ils avaient lier un pacte en baisant, ils formaient genre une alliance.

- On y réfléchira. Ca me fait plaisir d'avoir une cousine aussi gentille que toi. Les gens sont loin de l'image qu'il te donne. Barbie passa sa main dans les cheveux de Charlie. Tu sais ... La soit disante "pétasse machiavélique". A les entendre, tu manipulerais tout le monde, mais c'est fau. Il y a même des rumeurs comme quoi tu veux coucher avec Jimmy, mais de toute façon il y a Tessa, c'est le PARFAIT AMOUR eux deux. Ils sont fait l'un pour l'autre et t'es pas le genre de fille dégueulasse à mouiller devant son "père" ? Les gens sont bêtes.

Elle lui fit un bisou sur la joue. Elle n'en avait aucune envie, mais ça couronnait à merveille toute cette phrase. Barbie n'avait pas tellement entendue de trucs négatifs sur Charlie enfaite, ou alors elle n'y prêtait pas attention. Mais Charlie était le genre de fille qui tenait plus que tout à son image. Ça lui faisait pas de mal de voir la salope qu'elle était vraiment.

- Je conte vraiment repartir sur de bonnes bases avec toi. Je te pardonne, TOUT.

Elle prit un air de sainte, lui refaire un bisou serait peut être un peu too much.

C'était dur de jouer la conne pour Barbie en sachant que Charlie n'était pas du tout la gentille fille qu'elle venait de décrire. Quand Satan lui dit qu'elle était un ange, Barbie se sentit comme une comédienne digne des plus gros budgets d'Hollywood. Mais elle savait aussi que Charlie était aussi hypocrite qu'elle, elle était capable de tout. Mais l'attirance sexuelle qui venait de naître entres elles perturba Barbie. Encore plus quand Charlie se mit à la toucher. Elle n'était pas perturbée car elle avait peur. Elle avait couché avec plusieurs filles au par avant -Jamais sa cousine-, mais Barbie commençait à être euphorique. La même euphorie que quand elle va se taper quelqu'un qu'elle désire vraiment, pourtant Charlie c'était la pétasse à abattre. La drogue retombait, Barbie avait toute sa tête mais l'incroyable envie d'explorer toutes les parties du corps de Charlie. Sauf les pieds, c'est moche. La haine et l'amour était deux sentiments intenses, quand l'un dépassait l'autre le temps d'un instant, c'était enivrant et explosif. Barbie voulait détruire Charlie, exact, mais elle avait aussi envie de laisser sa rancœur de coté. Dans l'immédiat.

- Non, je ne suis pas un ange. On peut s'avérer être de parfaites pétasses toutes les deux... Mais là j'ai envie de toi.

Pour une fois, elle s'adressait à elle avec sincérité. Tout aussi sincère que le baisé passionné qu'elle lui donna à la suite de sa phrase. Warhol serait là il se masturberait devant ce moment privilégié. Barbara fit tomber une des bretelles du caraco de Charlie et partit de ce point jusqu'à son cou tout en l'embrassant.

Charlie frémit en entendant Barbie lui dire distinctement qu'elle avait envie d'elle. Ok, c'était le bon moment pour arrêter cette pyjama party imposée. Charlie n'avait rien d'une lesbienne même si elle avait apprécié caresser la poitrine ferme de Barbara. Elle relèva ses yeux bleus, des plus réticente à se séparer de cette soudaine proximité entre Barbie et elle ou d'arracher son regard de cette beauté camée. La bretelle de son caraco tomba sur son épaule et Charlie sourit, l'envie intense de la tuer et de la baiser la submergea. La petite main douce de Charlie glissa de la joue de Barbie à son cou pour lui faire comprendre d'approcher encore.

- C'est légèrement incestueux tu le sais...

La suite de la phrase de Charlie mourut entre les lèvres de Barbie quand elle plaqua sa bouche contre la sienne. Elle attrapa une large poignée de longs cheveux noirs et la força à presser sa poitrine contre la sienne tandis qu'elle échangeaient un baiser avide. Leur premier. Aussi sauvage et enivrant que leur relation. Charlie l'arrêta, haletante. Elle se sentait bizarre. Pas défoncée mais juste bizarre. Comme si elle se voyait agir sans pouvoir intervenir. Le baiser l'avait complètement engourdie. Le goût de Barbie se diffusait en elle, s'incrustait sur sa langue. C'était nouveau et effrayant. Elle voulait continuait mais s'en était déjà trop pour son corps plus habitué à vivre autant de sensations lors d'un simple baiser. Elle se décolla de Barbie le temps de reprendre ses esprits.

- Je... Je suis droguée. bafouilla Charlie, une main dans sa chevelure emmêlée, trouvant déjà l'excuse qu'elle fournirait aux autres si cette histoire venait à se savoir.

Elle porta sa main à ses lèvres avec l'impression que sa bouche pesait une tonne. Comme si celles de Barbie étaient encore appuyées dessus. C'était elle qui l'avait embrassé. Elle était techniquement la seule fautive même si Charlie n'était pas du genre à assumer ses actes surtout quand il s'agissait d'erreur.

Putain quelle garce. Barbie était persuadé que Charlie le faisait exprès. L'excuse idiote de la drogue était clichée en plus, elle avait plus d'imagination pour ses plans foireux d'habitude. Mais en repensant à ce moment intime Barbara doutait finalement, peut être que pour une fois ça partait pas d'un mauvais fond. Elle avait l'air sincère quand elle l'embrassait. Et puis c'était plutôt flippant de faire sa avec sa cousine, surtout que Charlie n'avait pas un passé de lesbienne derrière elle. Mon dieu, Barbara éprouvait de la déception à cet arrêt si brutal et surprenant. Barbara était dégouté de ne pas poursuivre cet acte aussi bien sexuel que sensuel avec CHARLIE THOMAS. Après tout, c'était Charlie qui avait déclenché l'envie.

- Je ne suis pas ton pervers de petit ami. Tu as commencé, tu assumes et tu finis. Je crois pas que carréssait la poitrine des filles à qui tu parles soit dans tes habitudes. Elle la regarda avec un sourire espiègle. Tu en avais envie non ? T'es pas non plus le genre de fille à plus savoir ce qu'elle fait à cause d'un malheureux joint.

Elle lui attrapa les poignets avec force exprimant toute la haine qu'elle avait envers elle, mais c'était simplement pour mieux l'embrasser à nouveau. Barbie ne se sentait plus elle même, pourtant elle avait envie de Charlie. Intérieurement ça la mettait dans une rage folle, mais la passion et sa libido étouffer cette rage. Son seul souhait pour le moment c'était que ça ne se termine pas comme ça. Mais Barbie n'était pas non plus le genre de fille à courir après les autres, encore moins après Charlie. Elle croisa ses bras sous sa poitrine, droite comme un piquet et s'assit au bord du lit dos à Charlie, jambes pendantes.

- Tu peux partir si tu as envie. Mais... si c'est le cas, tu n'auras plus aucunes chances de me retoucher, à l'inverse tout ce qui se passera dans cette chambres si tu restes n'en sortira pas.

Hj : C'est vraiment excitant...

[Porc ^^]

Ce joint était atrocement chargé. Charlie en était certaine. Toutes ses pensées étaient en vrac et son corps entier réclamait Barbie. Barbara ? Non mais quelle blague. En plus d'être devenue lesbienne, elle était maintenant folle à lier. Peut-être qu'elle était arrivée à saturation. Elle avait baisé avec trop mecs et du coup son corps désirait maintenant une chose qu'il n'avait jamais eu. Barbie était arrivée au bon moment et profitait clairement de sa faiblesse momentanée. Pour la première fois de sa vie, Charlie avait envie de baiser avec Warhol juste pour se rassurer, se prouver qu'elle était bien normal. Les pieds ne l'empêchaient de partir. Même eux si jolis et trognons avec elle - même quand elle portait des talons de quatorze centimètres - étaient contre elle. Les lèvres accrochées à celle de Barbie, elle se sentait pleine... Pleine de quoi. Alors là elle pouvait pas le dire. Mais c'était presque agréable. Revigorant comme une cure thermale ou un massage thaïlandais. Charlie avait l'impression de combattre un démon intérieur. La réflexion tumultueuse qui se déroulait dans son crâne à cause de Barbie lui donnait envie de hurler. Puis finalement après son ultimatum, un sentiment particulier l'envahit, entre l'excitation et autre chose, qu'elle était incapable d'expliquer.

- Je reste. Mais je préfère te prévenir que ça n'arrivera plus jamais, espèce de... lesbienne. chuchota Charlie avec un sourire en coin avant de plonger ses lèvres sur le cou minuscule de Barbie.

Ça y est c'était officiel, elle avait sa place en enfer. Satan devait sûrement épousseter la chaise à son nom et fabriquer dans sa forge un joli trident en or. Elle n'était qu'une trainée. Une fille facile qui se couchait avec une autre fille facile. Quelle belle association. Les mains de Charlie glissaient le long du corps de Barbie avant que ses mains ne se faufilent sous son t-shirt. Elle tenta de déglutir mais n'y arriva qu'à demi. Prudemment ses doigts se déplacèrent sur les seins de Barbie qu'elle pelotait franchement pour la première fois. "Mon dieu faîtes que je ne sois pas lesbienne et que tout ça soit une affreuse crise existentielle" supplia mentalement Charlie avant de tressaillir comme échaudée par le contact de ses paumes avec la peau d'une fille. Une émotion douloureuse lui monta à la gorge, un mélange d'envie et de honte. Elle avait l'impression d'être tombée très bas mais elle ne s'était jamais aussi bien. Peut-être que sa place était là. Dans les bras fins d'une fille qu'elle détestait. Charlie sentit une chaleur s'épanouir dans son ventre ça faisait longtemps qu'elle ne s'était pas sentie aussi vivante. Le sexe avait presque fini par l'ennuyer, la blaser. Là tout semblait nouveau. Elle déshabilla Barbie pour voir son corps nu et plus mince que le sien pour de vrai. Un waouh se coinça dans sa gorge. Charlie roula sur Barbie pour se mettre au-dessus d'elle. La respiration saccadée, Charlie descendit vers le nombril de Barbie pour explorer le reste de son corps.

Barbara dormait à présent comme une marmotte. Cette matinée de sexe intense avec sa pire ennemi l'avait exténuée. Prisonnière de ses rêves, Barbie se réveilla aussitôt après avoir entendu des bruits d'objet tombé, ne sachant plus si c'était la réalité ou le rêve. Elle réalisa être bien réveillée quand elle vu Charlie par terre avec un drap, les livres de cours de Barbie à ses cotés et une chaise renversée. Le sang de Barbie ne fit qu'un tour, cette catin s'amusait à fouiller dans ses affaires pendant qu'elle dormait ? Après un moment sexuel comme elle venait de passer cette conasse était incapable de faire une pause dans sa saloperie le temps d'une journée. Surtout que Barbie détestait qu'on entre dans SON espace, son intimité.

- Tu fouilles dans mes affaires ? dit Barbara sur un ton outré et en arquant un sourcil pour intimider Charlie.

Elle alluma une cigarette également, après avoir enfilé son t-shirt et sa culotte. Elle se dirigea vers Charlie et lui tendit la main pour l'aider à se relever.


Hj: Quel post de merde

Hj : Je m'incrustes votre sujet et trop bien.

Ian rentra chez lui précédé par son garde du corps. Une protection devenue indispensable depuis qu'il avait annoncé à Carly qu'il divorçait. Cette dernière folle de rage lui avait planté l'un de ses faux ongles près de l'oeil et il avait dû se rendre à l'hôpital pour retirer le morceau de plastique. Le colosse qui protégeait ses fesses musclées avaient les bras pleins de boîtes Ladurée. Ian était devenu un adepte de leurs pâtisseries lors de son premier séjour à Paris. C'était la seule chose qu'il pouvait avaler à part des pillules et de l'alcool. Il laissa MacMac le surnom affectueux qu'il avait donné à son protecteur déposer les pâtisseries dans la cuisine pour monter dans sa chambre pour une petite sieste. Il avait passé toute la journée sur un photoshoot pour Harper Bazar. Il n'avait rien fumé depuis six heures, il s'était juste remplie les narines avec le photographe. Ian monta les marches avec sa lenteur caractéristique quand il entendu une sorte de boom venant de la chambre de sa fille. Il évitait d'habitude d'entrer dans la pièce sans permission mais comme il craignait qu'elle ne fabrique son propre alcool dans une distillerie clandestine il préféra la prévenir que certains solvants étaient dangereux. Il poussa la porte et vit sa nièce et sa fille.

- Charlie, tu es là. Tout va bien les filles ? J'ai entendu du bruit.

Il regarda tour à tour les deux adolescentes en attendant une réponse même si il n'était pas ce genre de père exigeant et chiant qui voulait savoir tout ce qui se passait dans la vie de ses enfants.

- Ca vous dit d'aller dîner. Bon d'accord c'est l'heure du goûter mais comme vous venez de vous réveiller.

[Oui ]

Ça faisait un mal de chien, elle aurait maintenant un énorme bleu sur la cuisse qui deviendrait ensuite violacé dans quelques jours. Cette salope de Barbie avait sûrement prémédité son coup et fait exprès de placer ces livres à cet endroit. Son cœur manqua un battement en entendant la voix de Barbie. Charlie récupéra la cigarette qui avait roulé sur la moquette créant un léger trou. Elle pourrait peut-être lui faire croire qu'elle cherchait à lui voler des vêtements. Après tout, la kleptomanie était devenue très tendance depuis que Winona Ryder avait lancé le mouvement en 2001. Charlie refusa la main que Barbara lui tendait, pas question de la toucher une nouvelle fois.

- Je cherchais un Playboy... Tu sais celui dans lequel ta mère a posé.

Charlie se sentait tout de suite mieux maintenant qu'elle avait dit sa première méchanceté en rappelant à Barbie le passé trouble de sa mère. En y repensant elle n'aurait peut-être pas dû aller sur ce terrain miné vu la pile de dossiers que Barbara et la terre entière possédaient sur sa mère, la déséquilibrée Jade Thomas qui avait eut un mal fou à trouver sa voie. Pauvre petite fille riche. Charlie avait tout fait pour se différencier d'elle et elle pouvait dire aujourd'hui qu'elle avait admirablement réussi à ne pas être une loque humaine et indécise. C'était pour ça qu'elle devait arrêter de coucher avec Barbie qui lui tournait encore plus la tête que ce champagne fait maison que Warhol lui avait goûté un soir où ils avaient décidé de se saoûler pour le plaisir. Charlie réenfila sa culotte - elle songea avec horreur que Barbie avait fait glissé le morceau de tissu sur ses cuisses avec ses dents - et remit son caraco juste au moment où Ian faisait son entrée.

- Putain ! jura Charlie à la fois surprise, gênée et exaspérée.

Ça faisait bien trop d'émotions pour son cœur de pierre. Elle se mordit les lèvres presque au sang en sentant son regard bleu si proche de celui de Barbie se darder sur leurs corps presque nus. Charlie avait envie de passer son doigt sur son front persuadée que Barbara avait tatoué : LESBIENNE dessus pendant son sommeil. Charlie attrapa le jean slim que Barbie avait laissé sur le sol en rentrant dans sa chambre et le mit. Il était un peu serré parce que Barbie avait des cuisses de mouche mais Charlie ferait en sorte de rien manger pendant son trajet jusqu'à la prochaine boutique.

- Je te l'empruntes. dit Charlie à l'attention de Barbie qui n'aurait sans doute pas l'audace de lui arracher le jean, en tout cas pas devant son père. Elle se tourna vers son oncle avec un sourire éclatant. J'ai pas tellement envie d'aller dîner... Je dois aller réviser. Une prochaine fois peut-être.

Pour qui elle se prenait cette catin. Au moins la mère de Barbara était assez belle pour poser dans la page centrale de playboy et pas sur des vulgaires téléphones comme Jade. Barbara se contenta de lever les yeux au ciel, c'était tellement puéril qu'elle n'avait pas la force de répondre; encore moins l'envie enfaite. Sursautant quand Ian fit son entré dans la pièce, elle se rassura en vérifiant si Charlie était habillée. Dieux merci c'était le cas, Barbara trouvait l'inceste vraiment dégueulasse mais avait quand même beaucoup de mal à voir Charlie comme sa cousine. De toute façon, c'était sûr et certain, ça ne se reproduirait plus... Beaucoup trop sal. Elles avaient quand même du sang en commun, mais ce petit égarement s'était quand même avéré agréable.

- Je te le donne, ma lesbienne adorée. dit Barbara en parlant de son jean tout en se forçant à rigoler.

Le but de ce petit surnom affectueux qui paraissait anodin sortant de la bouche d'une adolescente à sa cousine, était simplement de faire monter Charlie en pression. Elle voulait faire la maligne avec ses pics à la con, Barbie le pouvait très bien aussi. En sachant que ce sera pire quand elle verrait cette conne tomber de son piédestal, les pics seront en métal et meurtrier car ce sera elle la reine. Voilà que Barbie était soulagée, elle détestait toujours autant Charlie même si l'envie de lui arracher son haut et de la violer se faisait ressentir, un petit peu, bon moyennement.

- Moi aussi je dois réviser, à l'heure du repas on ira faire une descente au dot entre PERE et FILLE.

Barbara insista sur le père et fille, elle voulait pas que cette catin s'incruste dans ce moment familiale. Pour une fois que Ian sautait pas un top brésilien. Evidemment, elle n'avait nullement l'intention de réviser mais pourquoi Charlie passerait pour une enfant modèle et pas elle. Barbie allait surement s'évader par la fenêtre et fumer des joints à Acadia Park avec Mika ou retrouver Cruz pour une partie de jambe en l'air, quoique niveau sexe elle avait eut sa dose pour deux jours. Puis de toute façon, Barbara était bien trop intelligente pour perdre du temps à réviser.


[HJ: Fin du sujet ? ]

Oui THE END !!!

Clap clap clap