Cours de sport collectif [Tous les ados !]

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Il était peut-être temps que Charlie se remette en question. A force de se prendre pour la reine du lycée, elle en oubliait l'énorme solitude qui semblait peser autour d'elle. Ugo n'était pas dupe non, il avait bien remarqué le faussé entre elle et le nouveau couple de son aîné Cruz, il avait beau été plus ou moins exclu des So Cool, le malaise pesait comme une énorme épée de Damoclès sur la totalité du groupe. Charlie était seule, parce qu'après avoir enchaîné les coups de pute avec ses meilleures amies, la majorité préféraient garder une certaine distance avec elle, et était davantage seule depuis qu'elle avait jeté Warhol de son lit. Certes, monsieur ne valait plus un dollar, mais il restait tout de même les gros bras de la jeune femme...Et même si Charlie semblait toujours disposer d'un petit pouvoir sur sa personne, cela ne l'empêchait pas de déclarer à tout va qu'il allait être papa...enfin, ça c'était avant de se faire jeter du cours pour avoir provoquer leur chauve de professeur de sport. Bref, Charlie était en fait plus inoffensive que jamais et après avoir connu la bête de près, avoir eu un semblant d'aperçu de sa manière de procédé, il était plus persuadé que jamais qu'il ne risquait absolument rien d'elle...De toute façon, à l'heure actuelle Ugo pensait sincèrement avoir tout vécu, tout connu et porter les cornes à cause de son propre frangin restait bien la chose qu'il pensait la plus cruelle...Enfin juste derrière le fait que son frère c'était aussi tapé sa mère...détail non négligeable. Se raclant légèrement la gorge, il répondit donc à son attention, voyant le sourire de la pimbêche s'atténuer au fil des mots :

"Cesse de te rendre aussi pitoyable Thomas...Certes je suis seul, mais je te rappel que toi aussi... Qui va donc venir t'aider à la tâche mon pauvre enfant ? Warhol et son énormissime découvert ? Cruz et son micro-pénis ? Barbie et sa coke ?"

Au loin, la cloche sonna, avertissant les élèves de la fin du calvaire. Ouf, sauvé par le gong. Ou pas. Attrapant sa bouteille d'eau, il en devissa le bouchon afin de boire une gorgée d'eau et retournant le récipient en plastique en direction de la jeune femme, il l'arrosa de la tête au pied, ajoutant un large sourire sur les lèvres :

"Tu peux t'y mettre dès maintenant Thomas...Je te fais même grès de la douche..."

Enfin la cloche venait d'annoncer l'heure de la délivrance, ils pouvaient enfin se tirer et rentrer chez eux. Il relâcha la main de Barbie pour se diriger vers les vestiaires. Cruz s'étonnait de ne toujours pas voir Warhol revenir et soupçonnait l'autre connard de Presley de s'acharner sur lui, depuis qu'il savait qu'il était pauvre comme un membre de Bad Circle et n'avait donc plus de riches parents auxuquels cirer les pompes. Cruz interceptait de loin quelques bribes de la conversation entre Ugo et Charlie avant de voir comme tout le monde le clou final.

- C'est un concours de t-shirt mouillé ?

Décidé à rentrer dans les bonnes grâces de Charlie qui n'avait toujours pas répondu à la photo qu'il lui avait envoyé, celle de Chloé nue sur le canapé de Julian. Charlie avait pouvoir de vie ou de mort encore au lycée, depuis sa rupture avec Loan et son rapprochement étrange avec Diane puis Chloé, sa côte était au plus bas et flirtait presque avec celle d'Ugo. C'était un véritable sacrilège. Il devait tout faire pour retrouver son statut d'avant. Humilier son frère une fois de plus était une bonne façon d'y arriver. Cruz dévissa sa bouteille et imita Ugo en la vidant cette fois-ci sur son frère.

- C'est plus équitable comme ça, non ? Et puis attend !

Après avoir jeté sa bouteille vide sur Ugo, il baissa le pantalon et le boxer de son frère pour que chacun puisse admirer son micro-pénis.

Charlie s'était déjà habituée à sa solitude. Elle était blindée, plus rien ne pouvait l'atteindre et la blesser. A part peut-être Arthur et ses poèmes à la con... Elle était bien contente que lui et sa copine morte-vivante ou prénom ridicule se soient abstenus d'assister au cours d'Andreas. Elle n'aurait pas supporter de se retrouver dans le même endroit que lui. Elle n'assumait toujours pas les sentiments qu'elle commençait à ressentir pour le bad Circle. La dispute entre Ugo et elle ne prenaient pas fin, chacun cherchant à blesser voir à détruire l'autre. Charlie était persuadée de réussir, elle avait déjà tellement écraser et menacer la vie des autres, que se faire le cadet des Preston était largement à sa portée.

- J'ai besoin de personne Ugo et je suis nettement mieux entourée que toi. Qui est à tes côtés encore ? Une lesbienne enceinte et une junkie qui préfère se taper ton frère ?

Elle avait d'ailleurs bien l'intention de publier la photo de Chloé dans tout le lycée. A moins de vendre cette image à Beth - sa nouvelle belle-mère - qui saurait probablement quoi faire de ce cliché compromettant. Elle n'avait même pas encore eu le temps d'envoyer la photo à sa belle-maman que le nigaud à bouclettes l'arrosait des pieds à la tête. Avec son short blanc trempé et déjà microscopique, elle risquait de donner de sacré crampes à son professeur de sport préféré. Ses jolis yeux bleus jetaient des éclairs et sa main délicate s'était déjà abattue sur la joue d'Ugo avant que Cruz ne décide de la défendre - ?!? - et d'humilier son frère. Charlie éclata de rire, férocement, alors qu'elle essorait ses cheveux mouillés pour les rejeter ensuite derrière son épaule et qu'elle découvrait qu'Ugo et Cruz n'étaient sûrement pas frères, vu la différence entre leurs deux... hum... appareils génitaux. L'un était démesuré et l'autre avait l'air d'une vermicelle.

- Comment est ce que Tallulah a pu être fécondé par ça ? C'est si... ridicule.

Elle leur tourna le dos, préférant laisser les deux frères à leurs gamineries non s'en avoir prévenu que l'un de ses élèves s'exhibait et agressait ses camarades féminines.

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C'était désormais officiel, Ugo vivait dans un monde de crétins qui se réjouissaient totalement de rabaisser ses propres congénères, le dicton était d'ailleurs assez populaire "le malheur des uns fait le bonheur des autres". Affligeant. Le boxer sur les chevilles, la tête mouillée, totalement humilié, le jeune Preston mis un certain temps avant de prendre conscience de ce qui venait de se dérouler. Cruz ne lui avait pas adressé la parole depuis bien longtemps et il pensait que tout deux avaient plus ou moins décrété une sorte de guerre froide...qui stipulait que chacun pouvait tailler l'autre autant qu'il le souhaitait, tant que leur regard ne se croisaient pas. Apparemment, ce n'était plus le cas, Cruz venait de retrouver tout son éclat. Il avait entendu parlé de l'agression de Henrie à la cafeteria mais au fond n'avait même pas plaint le jeune garçon, puisque ce-dernier restait quand même un grand malade prosterné devant le Christ et autre puissances imaginaires. Bref, totalement surpris par l'agression de Cruz, il était là, bouche bée, kiki à l'air Et alors que ses bouclettes ruisselaient, il remarqua enfin un groupe de filles le pointer du doigt et rire ouvertement...sur sa virilité...pas vraiment à son avantage...à cause du temps
Complètement rouge de honte, il remonta d'un coup son boxer et son pantalon, bafouillant à l'intention des quelques filles moqueuses :

"Maiiiis... Il fait froid..." et se retournant vers Cruz, qui tentait une subtile fuite, il attrapa le col de son t-shirt, le rapprochant de lui :

"Tu veux me détruire ? Bien bien ! Mais je te conseil vivement de te calmer... Je sais absolument tout pour toi et mam...Beth... Les mots lui brûlaient la gorge, lui rappelant comme à chaque fois qu'il osait y penser le dégout qu'il avait ressenti ce-jour là, alors qu'il avait rendu ses tripes devant la porte de la cuisine. Je sais également tout pour Prudence...Et je doute que la communauté degrassienne soit clémente du viol de sa propre mère... Putain d'enfoiré !"

Si Charlie ne lui concédait pas son petit cul ferme après cela, Cruz ne voyait pas ce qu'il pouvait faire d'autre, pour se faire pardonner. C'était quand même hallucinant toute ce travail qu'il devait fournir pour retourner uniquement dans les bonnes grâces d'une personne. Il n'était même pas sûr d'avoir fait un tel effort pour se rapprocher de Chloé. Peut-être parce que personne - à part les toxicos - ne connaissait Kennedy alors que Thomas était encore plus célèbre que le café du coin. Il fut déçu de la voir lui tourner le dos sans plus de remarque à part une vexante au sexe minuscule de son frère. Et lui alors ? Un merci n'aurait pas été de trop.

- Charlie je...

Il ne portait plus attention à son frère, enfin presque plus, parce qu'un mot, un prénom parvint à son oreille et tenait déjà la main de Charlie pour la convaincre de le laisser réoccuper comme avant la place de roi du lycée. Cruz s'arrêta soudainement rattraper par son frère qui le tenait par le col de son t-shirt. Il délaissa quelques temps la reconquête de Charlie pour revenir vers Ugo. De toute façon, il n'avait pas vraiment le choix. Son frère le menaçait ou tentait pitoyablement de le faire.Il n'avait pas encore son expérience dans ce domaine.

- Je ne l'ai pas violé. rectifia Cruz en se dégageant de l'emprise de son frère. Elle était plus que consentante. J'étais amoureux d'elle et c'était partagé.

Grâce à la main que Cruz avait saisi et gardé dans la sienne, la belle Charlie avait une position idéale pour entendre ce qu'Ugo venait de susurer tendrement à l'oreille de son frère. Oh mon dieu ! Le scandale qui se profilait à la raison était énorme ! Son corps entier vibrait et elle entendait même son coeur battre dans ses oreilles. Un immense sourire éclaira sa bouille d'ange avant que ses doigts ne quittent subrepticemment la main de Cruz qui avait l'air d'avoir oublié sa présence. Pour une fois, l'icône degrassienne, n'allait pas se plaindre. Elle tenait le scoop de l'année, la nouvelle de siècle, la dernière née de Preston était le fruit du plus horrible des incestes. Une mère et son fils ensembles, il y avait-il plus écoeurant comme assiociation ? Elle était à deux de renoncer définitivement à son alliance Preston-Thomas, mais finalement ce ragôt lui apportait ce qu'elle désirait sur un plateau d'argent. Il lui suffisait simplement de modifier légèrement les faits comme elle l'avait toujours fait. Elle qui avait toujours trouvé que Charlotte Bethany n'avait que peu d'intêret venait finalement de trouver un rôle super intéressant. Elle allait devenir la nouvelle meilleure amie de Prudence Preston. Elle voyait déjà le tableau, c'était tout simplement adorable. De là, elle pourrait récupérer un peu de salive et prouver quel dégénéré se cachait parmi les fils Preston. Elle s'assurait une merveilleuse couverture médiatique. Ils lui en seraient probablement reconnaissant puisque depuis le divorce de Bethian, les journalistes ne s'intéressaient plus tellement à leur famille. La véritable star avait toujours été Adrian, c'était lui après tout qui faisait mine de suer sur un terrain de basket en échange de plusieurs millions de dollars.

Charlie se mordilla la lèvre, à deux doigts de l'orgasme solitaire. C'était tellement bon cet odeur de souffre qui planait dans l'air. Ce cours de sport s'était révélé bien plus intéressant que prévu. Elle quitta les vestiaires et le gymnase à le recherche de son Warhol, qui finalement pouvait lui servir encore à quelque chose en dépit de son compte en banque en-dessous de zéro.

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Un affreux gout de bile se fraya dans la bouche du jeune Preston. Cruz était foutrement dégueulasse. Dégueulasse d'avoir sali et humilié leur mère, dégueulasse de parler d'amour. Certes Ugo n'avait pas le moindre foutu sentiment de filiation pour sa génitrice, mais malgré tout, tous s'étaient occupés, durant toutes ces longues années à protéger la famille Preston, à éviter le scandale et c'était sans doute pour cette unique raison que le jeune Ugo n'avait point encore commis de fratricide...chose qui ne devrait plus tarder à arriver désormais. Il écoutait les horreurs de son frère, le regard déviant tout à coup légèrement vers sa main, poussée un peu loin et qui se détachait doucement d'une autre main. Charlie Thomas avait tout entendu et fuyait déjà, un sourire tout aussi large que son anus (très large donc ) afin de répandre son venin, afin de ruiner la réputation familiale. Merde, merde et re-MERDE ! Ugo quelque peu désemparé, attrapa presque machinalement le bras de Cruz, le rapprochant à nouveau contre lui, les yeux livides, le visage blême :

"Putain de MERDE ! Cruz tu fais chier !"
Lâchant le bras de son frère, le petit bouclé passa ses mains sur son visage, dissipant les gouttes d'eau qui ruisselaient encore de l'attaque de son ainé. Désormais, ils étaient tout deux dans une merde plus que internationale. Reprenant son souffle, il parvint finalement à lâcher :

"Cette salope de Thomas a tout entendu ! Putain c'est le scandale assuré Cruz...Faisant du surplace, tournant en rond, il ajouta totalement furibond : Okay toi et moi on ne s'aime pas...Mais faut qu'on protège maman...Du moins si t'as encore un semblant de respect pour elle et pour notre famille...Va falloir que pour une fois, on ne soit pas l'un contre l'autre...A deux on peut encore rectifier le tir...Pour le moment c'est seulement sa parole contre la notre. Faut qu'on se débarrasse de Thomas..."

Putain Ugo venait de les mettre dans un sacré pétrin. Oui bien sûr tout était de la faute de son frère, comme toujours Cruz était incapable de s'en prendre à lui-même. Une fois encore il était parfaitement innocent et c'était son imbécile de cadet qui avait tout gâché. Il le voyait bien fureter partout, écouter ses ébats passionnés avec sa mère, l'oreille collé au mur pour entendre comment d'un coup de rein il parvenait à la faire gémir puis à la faire jouir. Ce petit pervers d'Ugo avait tout découvert en l'espionnant. Beth n'avait jamais pu le trahir en révélant son secret à la personne qu'il haissait le plus sur terre. Son regard suivit Charlie des yeux, elle s'éloignait toute souriante, probablement euphorique à l'idée d'avoir entendu le scoop du siècle. Cruz avait envie d'éclater de rire en entendant le "on" d'Ugo. Même pour Beth et Prudence, il était pas question qu'il s'allie avec ce frère qu'il haissait de tout son être. Depuis qu'il lui avait pris Selena, puis Chloé, la guerre était déclarée et il s'était juré de ne signer aucune trêve.

- Attend d'abord tu hurles partout que j'ai violé ma propre mère et après tu tentes de me faire comprendre que toi et moi on est sur le même bateau et que par conséquent on doit s'allier et se débarasser de Charlie ? Ton radeau de merde a pris l'eau uniquement par ta faute, si je dois protéger Beth ça sera tout seul. Elle ne peut compter que sur moi, toi tu l'as toujours déçu, elle en a jamais rien eu à foutre de toi regarde comment elle m'aime, comme elle aime Prudence. JE rectifierais le tir et je me gênerais pas pour lui dire que tout est de ta faute dès que j'aurais tout arrangé. En attendant je te conseille de fermer ta putain de gueule de bouclé et de donner tout ce qu'elle veut à Charlie même si c'est ta tête sur un piquet.

Il était à deux doigts de rajouter espèce de petit merdeux. Cruz s'était exprimé calmement mais intérieurement ça fusait de tous les côtés. Charlie ne le portait plus dans son coeur comme avant, il ne poivait pas demander à Warhol de le protéger parce que depuis qu'il n'avait plus une thunes, la reine ne lui adressait plus la parole. Toutes les issues paraissaient condamnées et l'idée d'un meurtre - enfin c'était ce qu'avait l'air de suggérer son abruti de frère à moins qu'il ne s'agissait d'autre chose - devenait la chose la plus intelligente à faire. Mais non il ne pouvait pas faire ça, il n'était pas devenu extrême à ce point il laissait ce genre de trucs de dingues à son oncle Edgar. Sans être un mec bien, Cruz avait encore quelques principes et éliminer celle qui avait longtemps été son unique amie féminine n'était pas dans ses plans d'avenir. Il retourna la tête vers Ugo après avoir éliminé toutes les contreparties qu'une personne excercant un chantage pouvait exiger comme de l'argent, mais Charlie en avait déjà bien trop. Comme lui, elle était une privilégiée et pouvait prendre des bains de Veuve Clicquot si son petit cul le réclamait. Peut-être qu'il pourrait renflouer les caisses de Warhol et supplier ensuite son meilleur ami de coincer enfin sa bite énorme dans la bouche minuscule de Charlie afin qu'elle la ferme. Non plus trop nul. Il devait bien y avoir un truc que la belle désirait sur cette foutue terre, un truc qu'Ugo ou lui pourrait lui offrir et qui acheterait son silence.

Andreas regrettait parfois d'avoir choisir la voie de professeur. Les adolescents de nos jours ne pensaient qu'au sexe, déjà à son âge, ils étaient super obsédés mais quand il voyait le nombre d'allusions à la chose qui avaient été à faites dans son corps, il se demandait s'il ne devait pas proposer à son bon ami Aidan de faire suivre aux élèves un cours sur les risques du sexe. Il y avait bien l'une de ses élèves Tallulah qui avait déjà un enfant alors qu'elle n'avait même dix-sept ans. Les élèves normales comme Selena était une denrée rare, il soupira en entendant la cloche retentir. Enfin, il était sauvé, il remercia chaleureusement son élève qui s'était très bien débrouillée et alors qu'il se disait que le pire était passé, Ugo arrosa copieusement Charlie. Son élève fut ensuite arrosé et humilié en retour par son frère. Ils étaient intenables et à cause d'eux Andreas était proche de l'infarctus. C'était toujours agréable de voir Charlie mise à mal et tout aussi bien de revoir en transparence ses courbes parfaites. Il la retint en se mettant devant elle.

- Je te vois samedi. dit il avec un sourire craquant

Andreas se tourna ensuite vers les deux frères qui étaient en grande discussion :

- Pareil pour vous deux.... Vous êtes collés tous les trois à quatorze heures. Ugo ça fait deux heures pour toi déjà, dis à tes parents que je veux les voir et leur parler, tu m'inquiètes. Ton comportement est inacceptable.

Le sourire d'Andreas avait disparu et il se mit au rangement du gymnase.

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